Cette fois Marie-Françoise est remontée très loin dans le temps : jusqu’au XVIe siècle, voire au XVe. Yvette Guilbert l’a un peu aidée en reprenant ce Verligodin. La reine du café-concert a probablement commencé à interpréter ce dialogue entre deux époux à partir de 1913. L’enregistrement que nous en connaissons (écoutable sur YouTube) date de 1933. L’image illustrait le début de la chanson : D’où venez-vous, d’où venez-vous donc / Mon joli-li Verligodin ? […] / J’viens d’ la foire […] / Et que m’avez-vous rapporté ? […] / Quat’ balais / Quat’ balais ? J’ vois point d’ balais. / Mais si parbleu, quoi, quat’ balais ! »
Si tu en dis autant, René, je réponds Verligodin par Yvette Guilbert.
Bravo. Bonne réponse.
Peut-être Yvette Guilbert ?
Elle chantait Le Fiacre et allait du Moulin Rouge au Divan (mai 1891) en fiacre, tout habillée et maquillée.
Le titre de la chanson pourrait être Verligodin ?
Bien vu, mais votre fiacre a été légèrement devancé, d’une roue, par celui de Michel B.
Faut-il penser à Barbara ?
On peut y penser, mais il faut oublier aussitôt.