Lors de ma prochaine tournée triomphale sur les scènes de France, je proposerai, entre deux chansons, qu’on pende Mélenchon par les couilles aux grilles de l’ambassade de Cuba. Mais attention, ce sera sous couvert d’humour et, dans le cadre de ma liberté d’expression, « une histoire fantasmée, un moment partagé d’esprit libre, artistique ! ». Et j’espère bien que tout le petit peuple de gauche qui se pâme actuellement devant Izïa Higelin le comprendra. On est tolérant quand on est de gauche.
Allain Leprest, qui pourtant avait des sympathies politiques bien précises mais ne cédait jamais à la démagogie, se plaisait à dire que sur scène, entre les chansons, les artistes, ça devrait la fermer. Quelle sagesse !
Floréal Melgar
Bof, bof… que de temps perdu. L’humanité n’a pas avancé… Izia HIGELIN n’a je pense pas mesuré que son commentaire serait un bide ! Mais c ‘est humain bien d’autres artistes ont fait parfois de la démagogie ! A mon goût, lorsque c’est trop ciblé, ça vieillit très mal. Qui s’en souviendra dans quelques semaines ! Qu’elle chante et que cela puisse lui servir pour faire mieux !
Nous avons reçu le commentaire suivant de Cyril C. Sarot :
Pas tout à fait d’accord avec Leprest.
Parler entre les chansons, pourquoi pas. Mais on est en droit d’attendre que ce soit fait avec à-propos, intelligence, discernement, finesse, humour.
HUMOUR
Le risque étant d’échouer dans cet exercice à la fois d’expression et de contournement de la démago (en l’espèce, l’échec est patent : lamentable !), où, d’une certaine manière, on rencontre aussi l’homme (la femme) derrière l’artiste, au risque d’être déçu.
Ceci dit, le plus fâcheux dans tout ça, c’est encore que Gauvain Sers risque de s’emparer du sujet et de faire une chanson de soutien à Izïa.
(puisque, en sus de ceux dont on voudrait qu’ils se taisent entre les chansons, sévissent ceux dont on voudrait qu’ils se taisent pendant)