On s’en doutait un peu, ce n’est pas un rideau de pluie qui allait vous empêcher de voir le front de mer d’Ostende, « et puis surtout » le limonaire. Même tout petit, même dans le lointain, même privé de son « vieil air du tonnerre », il ne vous a pas échappé. Bref, avec sa vision de Comme à Ostende (paroles de Jean-Roger Caussimon, musique de Léo Ferré et, depuis 1961, des interprètes comme s’il en pleuvait), Marie-Françoise ne vous aura pas baladés longtemps.
L’image m’évoque deux chansons mais avec un p’tit doute pour chacune :
Il pleut sur la mer d’Allain Leprest, ou Il pleut toujours où c’est mouillé de Rémo Gary.
Ni l’une ni l’autre.
Comme à Ostende ?
Comme à Ostende, Léo Ferré ?
Cela m’ennuie, je dirais bien Ostende, mais il me manque pas mal de choses dont le casino, et le limonaire n’est pas vraiment au bout de la rue.
Exact, le limonaire n’est pas tout à fait à la même place que dans la chanson et il manque des éléments du décor. Mais n’oubliez pas que Marie-Françoise « rêve de chansons ». Tout n’est donc pas comme dans la réalité.
Rectificatif : Comme à Ostende (Jean-Roger Caussimon et Léo Ferré), si ma mémoire, parfois défaillante, ne me joue pas encore des tours.
Très beau photomontage de Marie-Françoise que je garde dans mes photos d’art !