Si Marie-Françoise comptait vous endormir avec celle-là, c’est raté. Il n’en fallait pas davantage que les pantoufles aux pieds de la tour Eiffel, qui souffre du froid à ces extrémités, et qu’un balayeur même pas plein de balais… La première bonne réponse a fusé 37 secondes seulement après la mise en ligne de l’image : Il est cinq heures, Paris s’éveille (paroles : Jacques Lanzmann et Anne Segalen – musique : Jacques Dutronc). A part ça, l’anecdote est connue mais j’vous l’dis quand même (voilà que j’en suis presque à citer Patrick Bruel dans le texte, ça va pas mieux !) : c’est Roger Bourdin qui tient la flûte traversière.
La tour Eiffel a froid aux pieds, c’est pour ça qu’elle a des chaussons, et les balayeurs sont pleins de balais… Paris s’éveille ? Dutronc ?
Arf, le rébus (very good), my god, ouf.
Avec ce changement d’heures, je ne suis plus certain du titre que Jacques Lanzmann a donné à la chanson…
Zut ! j’avais trouvé tout de suite. J’aurais voulu être la première. A 5 heures Paris s’éveille mais moi, je dors encore. Dutronc aussi sans doute.
Avez-vous remarqué comment j’ai habilement habillé ma réponse ?
Oui, j’ai remarqué.