Hier soir, autour de 22 heures, il a bien fallu nous y résoudre : il n’y aurait pas d’éditorial ce lundi. Pas d’éditorial commun, en tout cas. Juste quelques lignes pour expliquer son absence, due à une bête panne de messagerie. Sans entrer dans des détails sans intérêt, disons que si nous, les trois gars (LTG), sommes comme les trois doigts qu’il faut pour tenir un stylo, nous n’en sommes pas moins très dispersés géographiquement. Donc, tous les textes que vous lisez sur « Crapauds et Rossignols » passent par nos trois boîtes à lettres électroniques. Et, pour ce qui est des éditos, plutôt trois fois qu’une. Cela dit, les choses devraient rentrer rapidement dans l’ordre : les compétences indispensables à la résolution du problème, difficiles à mobiliser un dimanche, devraient pouvoir l’être aujourd’hui. Et nous pouvons, sans grand risque d’être contredits par la technique, vous promettre un éditorial, en lieu et place de ce mot d’excuse, dès demain matin.
René Troin (pour LTG)
Cela tombait mal (ou bien) au choix (suivant/selon) le jour des élections. Pftttttt
On ne peut être à la fois délégué de liste durant toute une journée dans un bureau de vote, et être derrière son clavier, efficace et pertinent… La panne a bon dos…