« Tout près de là, dissimulée, mais plus pour très longtemps, dans le public tassé sur les gradins, une jeune et jolie inconnue, mais plus pour très longtemps, sourit avec un rien de commisération à la commissure des lèvres. Elle s’appelait Chantal Cézanne mais venait, l’après-midi même, de se rebaptiser Goya, son manager l’ayant persuadée qu’on ne réussit pas dans la chanson avec un nom de peintre. »
(René Troin, « Chantier Schéhérazade »)