À la suite de l’article Deux hommes sur un canapé, la conversation est allée (et va encore ? ) bon train sur Facebook. Les points de vue divergent, comme jadis ceux de Ferrat et Brassens, mais sur une seule chose tout le monde semble tomber d’accord : le sujet mérite d’être discuté ! Quand je dis tout le monde, je veux dire les participants à la discussion virtuelle. Et force est de constater à la lecture des prénoms que nous appartenons tous peu ou prou à la même génération. Gilbert, Michel, Pierre, Marc, Alain, Hervé, Jean-François, Lucien, même un Floréal (!), et j’en passe ! Écouter à nouveau cet entretien entre ces deux grands artistes de la chanson populaire a ravivé les vieux clivages que nous avons connus dans nos jeunesses. Aucune jeune personne, chanteuse, chanteur ou autre, n’est venue se joindre avec son grain de sel. C’est une affaire de vieux ce truc de 1969, ont-ils dû se dire ! Et ils n’ont pas tort, « l’affrontement » entre les deux « grands » était l’écho du même type d’affrontements ou de débats dans la société de ces années-là. Même si le sujet reste intéressant, l’époque n’est plus la même. Enfin, une fois de plus, s’il en était besoin, nous avons la confirmation que le temps passe, sur le Boulevard de Georges Brassens comme ailleurs, pourtant on ne le voit pas passer comme chantait Ferrat ! Là non plus, ils ne sont pas d’accord !
Pierre Delorme
J’ai lu cet étripage au fleuret.
Y plane un mystère dans une imprécation : « Va donc écouter du J.B. ! » S’agit-il de Jacques Brel ? De Jeorges Brassens ? 🙂 De Julos Beaucarne ? De Jacques (2)Bronckart ? 🙂 De Jérémie Bossone ? De Jean-max Brua ?
S’agit-il de — non, je n’ose envisager cette extrémité funeste —, s’agirait-il de Jacques Bertin ? Là, on aurait posé le fleuret pour un traitement trop cruel… 🙂
Eh oui, c’est bien le dernier cité…