Mon premier sort du berceau
Mon deuxième a vu se balancer celui de Georges
Mon troisième a parfois le vertige
Mon quatrième met les gaz
Mon tout est passé du Top 50 à Top Chef
Mon premier, c’était [l’areuh].
Mon deuxième, c’était [Sète].
Mon troisième faisait allusion au vertige [de l’amour].
Quant à mon quatrième, c’était [fou]. Il y a, à la présence ici de ce mot, deux explications. La première, énoncée d’une voix un peu trop forte par l’un des trois gars après une soirée « Découverte du pouilly-fuissé », assurait que Perrier qui est [fou] met du gaz dans ses bouteilles. La seconde, beaucoup plus sobre, avancée à l’issue d’une nuit de repos, n’évoquait plus qu’un [fou] du volant qui met les gaz.
Quoi qu’il en soit, mon tout est bien : La Recette de l’amour fou de Serge Gainsbourg.
Alors, la charade est en rade (pour moi)… Vite, vite, la réponse…
Je crois avoir le premier, le deuxième, mais après, je cale. Mais je ne renonce pas !
Je souffre intellectuellement. Un petit coup de pouce ?
Alice,
Toi qui as fréquenté de près des bébés, tu devrais avoir « mon premier ». Ta tante pensant avoir « mon deuxième », vous devriez y arriver sans l’aide de votre père ou frère qui, lui, est soumis à la clause de conscience.
Alors pour l’honneur le deuxième je l’avais déjà. Comme quoi je ne suis pas si nulle en CFQ… 🙂 Je retourne de ce pas me creuser les méninges pour le reste ! Merci !
La Recette de l’amour fou de Gainsbourg ? Quoique pour « fou », je ne comprends pas « met les gaz ».